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  • K.Kennedy 6911 site

Presse

  • Crescendo magazine

    Crescendo magazine

    août 2013
    « La Roque d’Anthéron 2013 : le piano en majesté. Dans les Funérailles de Liszt, Larderet fit montre de tout son savoir pianistique. Le piège est d’en faire une pièce de virtuosité et d’effets gratuits avec de belles octaves rapides à la fin. Piège où n’est pas tombé Larderet. Il a su montrer la haute profondeur de cette Œuvre (…).Vincent Larderet a un jeu très lyrique (…) et s’attarde parfois sur certaines choses où d’autres passent comme si il n’y avait rien. On sent là un pianiste intelligent. La fin fut particulièrement intense et bien amenée. Le concert se termina sur la fameuse Deuxième Sonate opus 36 de Rachmaninov. Les qualités de Larderet se révélèrent ici pleinement ; un jeu généreux et plein de détails. »

    Crescendo magazine (Belgique)
  • Fanfare

    Fanfare

    juin 2012
    “This is definitely one of Naxos’ better releases.”

    Fanfare (USA)
    Colin Clarke
  • MusicWeb International

    MusicWeb International

    septembre 2011
    « C’est convaincant dans cette version pour piano solo [de La Tragédie de Salomé] que Vincent Larderet interprète avec brio. Larderet apporte également ses idées dans chacune des pièces. Il conduit ensuite de manière transparente l’auditeur d’une section à une autre. Parfois, la musique sonne comme si elle était à l’origine pour le piano. C’est un témoignage de l’artisanat de Larderet. La musique suggère une performance live, un aspect de l’enregistrement qui est louable en soi. Une lecture solide et des interprétations persuasives. »

    MusicWeb International (UK)
    James L. Zychowicz
  • "Clef" de Resmusica

    "Clef" de Resmusica

    août 2011
    « Pour transcender la difficulté de ces partitions (La Tragédie de Salomé est un sacré tour de force), il faut toute la compétence pianistique et la hauteur de vue de Vincent Larderet. Sa maîtrise technique lui permet de faire sonner son instrument avec la force d'un orchestre, tantôt séducteur, tantôt noir et dramatique ; le tout avec une palette de couleurs exactement orientalisante. On tient donc un disque de référence. »  

    "Clef" de Resmusica (France)

    Pierre -Jean Tribot
  • American record Guide

    American record Guide

    juillet 2011
    « Vincent Larderet a des dons particuliers pour la régularité et les trémolos légers. Une autre force est sa capacité à projeter des sons différents: ses passages de basse doux grondent et sont menaçants, et ses attaques en force à la corde sont écrasantes et brillantes (jamais même stridentes, juste puissantes) »

    American record Guide (USA)
  • Qobuz - Rencontre podcast

    Qobuz - Rencontre podcast

    juillet 2011
    Qobuz (France)
    Marc Zisman
  • Ritmo ****

    Ritmo ****

    juin 2011
    « Il faut, effectivement, beaucoup de concentration de la part de l'auditeur, et vraisemblablement de l'interprète, en l'occurrence le jeune Vincent Larderet qui évolue sans problème du point de vue technique – son riche, admirable clarté - et sait offrir l’atmosphère chargée dont ces partitions ont besoin pour respirer lentement et sans tomber dans un hédonisme plus ou moins décoratif ; il n’y a pas d’intention de rendre cette musique "facile", mais de l’offrir avec toute sa charge intellectuelle et son ambiguïté expressive déconcertante. A noter que le premier enregistrement mondial de la version pianistique du ballet La Tragédie de Salomé est inclue, transcription réalisée par l'auteur avec une excellence telle que la masse orchestrale ne manque jamais. »

    4 étoiles RITMO (Espagne)
    Fernando López Vargas-Machuca
  • “MAESTRO” Pianiste

    “MAESTRO” Pianiste

    mai 2011
    « Un événement qui est aussi une révélation : la version pour piano de La Tragédie de Salomé est tout simplement, à l'égal de Gaspard de la nuit, le sommet absolu de la littérature française du piano. »

    “MAESTRO” Pianiste n°68 (France)
  • “CHOC” Classica

    “CHOC” Classica

    avril 2011
    « Avec lui, le piano s'égale à l'orchestre, et l'on se demande s'il n'a pas à sa disposition une troisième main. (...) On comprend qu'il nous tienne en haleine de la première à la dernière mesure, avec toute la sensualité, le mystère ou la frénésie diabolique requise. (...) Tant que l'on ne fera pas justice à Florent Schmitt, la perspective de la musique française du XXè siècle restera faussée. Avec Vincent Larderet, cette réhabilitation s'entame sous les meilleurs auspices. »

    “CHOC” Classica n°131 (France)
    Michel Fleury
  • Toronto Star

    Toronto Star

    mars 2011
    « Toute cette musique impose des exigences techniques incroyables au pianiste, ce que Larderet surmonte avec panache. Son jeu est remarquable pour son aisance et son style. »

    Toronto Star (Canada)
  • Qatar Broadcasting Service

    Qatar Broadcasting Service

    juin 2010
    « Puissant et émotionnel ! »

    Qatar Broadcasting Service (QBS)
  • Naxos - Interview

    Naxos - Interview

    août 2009
    Naxos Record (Hong Kong)
  • La Tribune - Le Progrès

    La Tribune - Le Progrès

    mai 2007
    « Instrumentiste sombre mais concentré, Vincent Larderet a respecté scrupuleusement les jeux de nuances des Sonates n°26 "Les Adieux" et n°29 "Hammerklavier" op.106 de Beethoven. Cette musique révèle en réalité les sentiments profonds d'un compositeur luttant contre lui-même, car désormais sourd. Mr. Larderet, en musicologue averti, sait que c'est aussi par ces informations que l'on oriente un jeu, que l'on trouve le ton juste, celui qui touche au cœur et duquel naît l'expression. »

    La Tribune - Le Progrès (France)
  • The classical shop

    The classical shop

    décembre 2006
    « Écoutez simplement la technique inspirée de la Toccata de Prokofiev qui montre comment Larderet a maîtrisé les complexités de l'écriture de Prokofiev. En même temps, on peut entendre dans les œuvres de Scriabine la sensibilité étonnante de Larderet avec la ligne lyrique. »

    The classical shop (UK)
  • Nice matin

    Nice matin

    juin 2006
    « Le jeu clair, intense et affirmé de Vincent Larderet, l'une des vedettes de Génération Virtuoses,  a séduit dans le 3ème Concerto de Prokofiev. »

    Nice matin (France)
  • Le Monde de la Musique

    Le Monde de la Musique

    septembre 2004
    « Vincent Larderet fait preuve de liberté, poésie et mystère dans son interprétation des Valses nobles et sentimentales de Ravel exécutées à partir de la partition de travail de Vlado Perlemuter annotée de la main du compositeur. (...) Les pages de Scriabine sont rendues avec un tact, un équilibre des plans sonores, une luminosité tout à fait convaincants. »

    Le Monde de la Musique n° 290 (France)
    Michel Le Naour
  • Anaclase

    Anaclase

    août 2004
    « Vincent Larderet nous revient avec un programme intrigant et mystérieux qui inspire le respect de par sa difficulté et sa subtilité. On peut dégager de ce télescopage pianistique une volonté de souligner la dimension symphonique de l'instrument dans certaines œuvres. L'interprétation solide du pianiste convient parfaitement à ce projet de symphoniser un répertoire qui ne demande que ça ! Un jeu solaire et passionné qui sollicite notre imaginaire à chaque portée et sait transfigurer le piano en grand orchestre. »

    Anaclase (France)
    François-Xavier Ajavon
  • Piano Magazine

    Piano Magazine

    mai 2004
    « Le public (...) bruisse encore de l'audace et du talent de l'artiste qu'il vient d'entendre. Le programme de Vincent Larderet ne faisait pas, il est vrai dans la demi-mesure : la Sonate n°3 de Brahms, le Prélude et Nocturne pour la main gauche de Scriabine, la Deuxième Sonate de Rachmaninov. Sans affectation ni dandysme, il impose un style coloré, puissant et hautement maîtrisé. Son Scriabine montre un admirable contrôle de l'indépendance des lignes. L'écriture du compositeur y invite assurément : encore fallait-il savoir transfigurer cette donnée technique en poésie sonore. Car Larderet vise l'expression, et touche au cœur de la musique. Dans la Sonate de Rachmaninov, du trait rageur initial à l'apothéose finale, le piano est racé, noble et expressif... » 

    Piano Magazine n°40 (France)
    Nicolas Southon
  • Piano Magazine - Interview

    Piano Magazine - Interview

    mai 2004
    Piano Magazine (France)
    N° de mai-juin 2004
  • Classica 5 / 5

    Classica 5 / 5

    juillet 2002
    « Quel plaisir d'écouter ce piano, franc et sain, justement timbré (qualité rare chez les jeunes pianistes) et conduit sans ostentation, sans recherche de brio ni mise en valeur personnelle. La Toccata de Prokofiev est peut-être la plus remarquable de toute la discographie, plus maîtrisée que celle d'Horowitz, d'un motorisme plus implacable, et donc plus halluciné, que chez Argerich, et dans une sonorité toujours contrôlée. Quant aux Études Symphoniques, elles sont dans la lignée des grandes lectures au souffle large des Cortot et autres Nat. Un grand artiste ! »

    Classica n°44 (France)
    Jean-Jacques Groleau

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