Presse
Critiques
Critiques
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Piano Magazine
mai 2004« Le public (...) bruisse encore de l'audace et du talent de l'artiste qu'il vient d'entendre. Le programme de Vincent Larderet ne faisait pas, il est vrai dans la demi-mesure : la Sonate n°3 de Brahms, le Prélude et Nocturne pour la main gauche de Scriabine, la Deuxième Sonate de Rachmaninov. Sans affectation ni dandysme, il impose un style coloré, puissant et hautement maîtrisé. Son Scriabine montre un admirable contrôle de l'indépendance des lignes. L'écriture du compositeur y invite assurément : encore fallait-il savoir transfigurer cette donnée technique en poésie sonore. Car Larderet vise l'expression, et touche au cœur de la musique. Dans la Sonate de Rachmaninov, du trait rageur initial à l'apothéose finale, le piano est racé, noble et expressif... »
Piano Magazine n°40 (France)
Nicolas Southon -
Classica 5 / 5
juillet 2002« Quel plaisir d'écouter ce piano, franc et sain, justement timbré (qualité rare chez les jeunes pianistes) et conduit sans ostentation, sans recherche de brio ni mise en valeur personnelle. La Toccata de Prokofiev est peut-être la plus remarquable de toute la discographie, plus maîtrisée que celle d'Horowitz, d'un motorisme plus implacable, et donc plus halluciné, que chez Argerich, et dans une sonorité toujours contrôlée. Quant aux Études Symphoniques, elles sont dans la lignée des grandes lectures au souffle large des Cortot et autres Nat. Un grand artiste ! »
Classica n°44 (France)
Jean-Jacques Groleau -
Kieler Nachrichten
avril 2002« Vincent Larderet joua les Études Symphoniques de Robert Schumann avec une passion et une puissance étonnantes alliées à de grands moyens techniques (...) ; la virtuosité était au service de la musique. »
Kieler Nachrichten (Allemagne) -
Le Figaro
juin 2001« Vincent Larderet vient de se produire au moment même où sort chez les disquaires son deuxième enregistrement, lequel succède à un premier disque qui contient une Fantasia Bætica restée dans les mémoires. Le jeune pianiste excelle dans le répertoire du XXème siècle. (...) Il livra une vision frémissante, vibrante, attachante de la Sonate - Fantaisie de Scriabine. (...) Il aborda avec autant d'aplomb les Valses nobles et sentimentales de Ravel faisant éclater les sonorités, exaltant les rythmes, jouant la carte de l'engagement permanent. (...) Les hardiesses de cette approche donnaient infiniment de relief à la Toccata Opus 11 de Prokofiev. »
Le Figaro (France)
Gérard Corneloup -
Catalunya musica
juin 2001« Pianiste de grande sensibilité expressive. »
Catalunya musica (Espagne) -
Le télégramme de Brest
juin 1997« Vincent Larderet a fait montre d'une belle maturité et d'une maîtrise technique impressionnante. Son concert fut un modèle de cohésion entre la partition, difficile, et celui qui méritait plus que jamais le nom d'interprète, sachant extraire des notes majesté et émotion. »
Le Télégramme de Brest (France)